Découvrez les Fermobplaces 2020 ! Cette année, pour la première fois, nous mettons à l’honneur les plus belles terrasses ! Partez à la découverte d’hôtels, restaurants et des plus beaux cafés de vos régions. Ils vous réserveront une petite attention rien que pour vous #fermobpeople. Ils sont une dizaine d’établissements sélectionnés pour vous cette année, nous vous les présenteront au fil de la saison.

1- L’hôtel Ibis STYLES à Nancy et son restaurant Le Bienfaisant

Notre premier lauréat pour le cru 2020 n’est autre que l’hôtel Ibis à Nancy et son restaurant, Le Bienfaisant ! Un établissement 100% Fermob, des terrasses à la piscine, qui vous proposera d’excellents repas avec notamment des planchas party le dimanche.

Rendez-vous le 17 mars midi pour un déjeuner au Bienfaisant de l’hôtel IBIS STYLES : cocktail et petits apéritifs offerts, cadeaux FERMOB et lampe Balad à gagner, que du bonheur à l’occasion de la FERMOBWEEK !

Retrouvez-les sur Facebook : @ibisstylesnancysud

Une brasserie française branchée

Le Questel, situé sur la place éponyme de Nîmes, à 50 mètres de la fameuse Maison Carrée, c’est THE restaurant du moment ! Un bistrot-brasserie en plein cœur de la ville qui s’est bâti une solide réputation en seulement 2 ans… Un lieu ultra-inspirant dont le succès repose sur une recette équilibrée : une cuisine goûteuse, un sens de l’accueil hors pair et une terrasse qui ne désemplit pas, hiver comme été… Peut-être en partie parce que Jimmy Vialle, son propriétaire, a choisi notre marque, dont il aime « le chic et la robustesse » pour la meubler ?

Du fait maison et du français exclusivement !

Au Questel, tout est fait maison ! Et tout est d’origine française -jusqu’au mobilier donc  comme l’affiche clairement le logo au drapeau bleu-blanc-rouge. Les produits frais sont triés sur le volet chez les producteurs locaux. La charcuterie artisanale vient d’Ardèche et la viande, de Lozère ! Mmm… Cela vous fait envie ? Attendez, ce n’est pas fini ! Les poissons arrivent directement de la criée. Quant au gin, il est distillé à Montauban. Vous sentez le fumet du café, servi dès 10h le matin en terrasse ? Il est torréfié au feu de bois, technique rarissime de nos jours. Et pour vous éviter un trajet jusqu’à Uzès, où il est produit, il ne vous reste plus qu’à venir le déguster au Questel…

Le partage avant tout…

Au Questel, pas de clivage « entrée, plat, dessert » ! Brasserie à l’esprit bistrot à midi, le restaurant se transforme, à la nuit tombée : « tous les plats sont à partager pour le dîner », explique Jimmy, avec son accent aussi savoureux que ses grignotages très franco-français, telles les cuisses de grenouilles. Pierre VEROT, jeune chef passé par les cuisines de Stéphane BÉGUÉ à l’Atelier des Gourmets , vient découper à table une côte de bœuf, un poulet rôti. Ce concept du plat unique crée des liens : « un soir, la table 17 et la table 18 ont fini le repas ensemble ! Et l’hiver, il est arrivé que des convives mangent directement dans la marmite leur pot au feu en cocotte ou leur épaule d’agneau ! » Pas étonnant !  De vous à nous, on se sent au Questel aussi bien que chez soi…

Et une générosité affichée…
Toute ressemblance avec Fermob n’est pas fortuite 

Jimmy est la générosité incarnée. En témoignent ses plats à partager, et cette façon si chaleureuse qu’il a de vous ouvrir tout grand les portes de son restaurant. Son envie de faire plaisir à ses hôtes transpire. Ainsi, si vous vous présentez à lui « comme étant un FermobPeople », Jimmy vous offrira un verre de délicieux vin bio* ! Il n’a pas non plus hésité à nous confier, en exclusivité, ses 2 adresses préférées à Nîmes… Les voici !

Les coups de coeur nîmois de Jimmy

*L’Hôtel Imperator, de la Maison Albar récemment réouvert :
« Dans le beau jardin, dégustez la cuisine de Pierre Gagnaire. Et sirotez les cocktails, à l’Hemingway’s, du nom de l’écrivain qui y a séjourné : ils sont exceptionnels ! »

*Le maître-artisan fromager, Vincent Vergne, couronné MOF cette année.
« C’est lui qui nous fournit, au Questel. Je l’apprécie car il travaille vraiment dans les règles de l’art. Vous le retrouverez aux halles de Nîmes ou dans sa boutique de l’avenue Pompidou, qui abrite des caves d’affinage. Il y propose aussi charcuteries franc-comtoises et vins jurassiens. »

Et vous, quelles adresses avez-vous testées à Nîmes ? Lesquelles recommanderiez-vous ? A vos claviers pour nous les partager !

*conditions de l’offre : Un verre de vin BIO offert, jusqu’au 31 décembre 2019, sur présentation orale du code « FERMOBPEOPLE » dans la limite d’un seul verre par personne et pour une table de 4 personnes maximum.

Du lien social à la touche design dans le décor, le mobilier de rue s’est fait une place de choix dans la société. Invitant, accueillant, socialisant, esthétisant, il fait plus pour les gens, qu’on ne peut bien le croire !

Banc pique-nique, banc-bécot, chaise-papote ou chilienne-relax, c’est indéniable, le rôle du banc public va bien au-delà d’un simple objet de déco dans la rue ou de son côté pratique pour s’asseoir. Et personne ne s’en prive ! Il s’installe allègrement dans les villes du monde entier, côtoie les gens de toutes les générations, et de tous les horizons, sans distinction. Il invite à en profiter. Tout simplement, et unanimement.

Qui aurait cru qu’un mobilier urbain pouvait réunir les citadins et devenir le point commun d’habitudes universelles ?! C’est en tous cas ce que pense Fermob, et ce que transmettent tous les #FERMOBPEOPLE assis sur le mobilier sauvage autour du globe ! Car pour ceux qui ne le savent pas encore, l’ADN Fermob, se compose de joie de vivre, oui, mais aussi de valeurs bien ancrées comme l’idée de rendre le monde toujours plus accessible… aux autres, au partage, à l’échange et aux liens qui se créent. Alors parler banc public, ou mobilier urbain, pour Fermob, c’est juste naturel.

Le mobilier urbain, aussi là pour faire joli ! 

Si le design du mobilier urbain s’adapte aux environnements qui l’entourent et a un rôle de structuration de l’espace, il a aussi l’envie de composer des places faciles et agréables à vivre, où il fait bon se promener, s’arrêter, et simplement apprécier. Bancs, chaises, fauteuils, le mobilier urbain a une vraie utilité dans l’espace public qu’il occupe.

Style et lifestyle à l’international… 

Pas question de se fondre dans la masse, mais plutôt d’ajouter une esthétique au décor, propre aux lieux. C’est le cas du mobilier urbain Fermob implanté dans le quartier d’affaires de Marunouchi Street à Tokyo, les chaises Bistro mettent de la gaieté dans la place, et accueillent toutes les envies de se détendre un peu.

Le mobilier urbain a aussi vocation de mettre de la vie dans les espaces publics. Une bien grande ambition, mais qui porte ses fruits… ou plutôt ses couleurs ! À Mexico, la place Cibeles compte pas moins de 250 chaises Luxembourg et Bistro déclinées dans 4 teintes énergisantes, qui viennent embellir ce lieu et crier la joie de vivre !

Et puis parfois, ce mobilier urbain s’oppose au paysage, pour le plus grand plaisir des passants : À Time Square, au milieu des gens pressés, les bancs Origami et chaises Bistro Fermob se baladent en plein air pour casser le rythme de la ville qui ne dort jamais et délivrer un message simple : Faites une pause !… Et il y en a même qui le font ! 

En solo, en famille, entre amis, le mobilier urbain joint le pratique à l’esthétique. Il se pose là et mixe les genres ou les affinités à échelle universelle. Pour Fermob, c’est très exactement ce qui fait la différence, cette envie de parcourir le monde et de rassembler… parce qu’on ne le fera jamais assez !

Quand design et architecture se mixent et matchent pour faire revivre les monuments historiques… Le résultat est à couper le souffle ! Bernard Reybier, PDG de Fermob et Patrick Muller, Gestionnaire du Grand Hôtel Dieu se prêtent au jeu pour raconter leur partenariat dans l’aménagement des espaces du Grand Hôtel Dieu.

Co-mmencement

Au commencement, il y a le Grand Hôtel Dieu, ce bâtiment monumental qui date du 12^e siècle. Vendu en 1478 à la ville de Lyon, il prend la fonction d’un hospice, puis d’un hôpital, et d’une maternité, qui fermera ses portes en 2010. En 2011, le Grand Hôtel Dieu est classé monument historique. Son espace est repensé et reconfiguré pour s’adapter aux nouvelles habitations urbaines et à l’atmosphère qui règne dans le centre de Lyon où le bâtiment siège fièrement. C’est le début d’une nouvelle ère : celle de la célébration, de la vie et de l’avenir. Le Grand Hôtel Dieu a de beaux projets en perspectives : devenir un lieu de loisir et de détente, où il fait bon se balader, faire ses petites emplettes, poser ses valises, goûter à la bonne cuisine, flâner un peu ou travailler… Et apprécier simplement l’art de vivre à la française, le vrai, au cœur de 51 500 m² de plaisir.

Co-gitation

Le Grand Hôtel Dieu se métamorphose. Il est réfléchi, par son manager, Patrick Muller, entouré des plus grands architectes et designers. Sous l’œil avisé de la Direction Régionale des Affaires Culturelles, les travaux de rafraîchissement, de modernisation et d’aménagement peuvent commencer pour en faire un lieu reflet de la joie de vivre de la ville de Lyon et de la French attitude dans toute sa splendeur.

Co-pilote

Pour répondre à leurs attentes d’aménagement de l’espace et à l’envie de déplacer le classicisme vers le modernisme qui anime le centre-ville, les dirigeants de l’Hôtel Dieu font appel à Fermob. Un choix qui leur « est apparu comme assez évident, parce qu’on cherchait ici, du mobilier qui soit élégant, qui soit simple, qui soit aussi intemporel. C’est là où la gamme Fermob reflète clairement les choses », affirme Patrick Muller. Leur ambition ? Faire perdurer le lieu, de manière magnifique !
« Une super ambiance », décrit Bernard Reybier, « parce que chacun reconnaissait la problématique de l’autre, la fascination pour ce lieu a été un facilitateur, on s’est naturellement écoutés parce que c’était passionnant ! ».

Co-staud, co-sy

Le modèle phare qui met tous les commerçants et interlocuteurs d’accord, c’est la collection Luxembourg. Designée par Frédéric Sofia, elle est alors adaptée pour l’Hôtel Dieu, dans différentes versions, selon les différents espaces, et toujours dans un design surprenant !

Costaud, cosy, « ça aurait pu être les critères du cahier des charges ! » nous confie Patrick Muller à propos de ces deux mots. « On voulait des modèles qui ne soient pas trop lourds, et le mobilier Luxembourg, ce sont des modèles en aluminium qui sont très légers. »
« La touche cosy vient des patins silence brevetés, qui divisent par 3 le bruit sur les sols durs ».

Co-loris

L’objectif est de souligner l’architecture des lieux, et de s’adapter à toutes les terrasses. 24 couleurs, et bien des frustrations car il n’en fallait qu’une, c’est finalement la couleur gris carbone qui a fait l’unanimité ! Une teinte légèrement métallisée pour le chic, des petites particules de nacres dans la peinture qui accrochent la lumière autant que les regards et qui soulignent le galbe du mobilier : Luxembourg s’installe sur toutes les terrasses de l’Hôtel Dieu, séduit infiniment par son style et son cachet. Elle s’intègre à son décor et répond aussi naturellement que remarquablement à l’esthétique de la façade en pierre de Villebois. Pour Bernard Reybier, « La vedette, c’est le lieu, l’espace, donc le fauteuil (il) doit être à la fois parlant et avoir sa personnalité, tout en étant discret ».

Co-llector

Luxembourg est alors personnalisée avec le logo du Grand Hôtel Dieu pour en faire un modèle aussi unique que ses lieux et Patrick Muller précise même « le totem de la ville ».

Co-llaboration, co-mblée

Pari tenu ! Les 2 dirigeants viennent de vivre une expérience inoubliable, dont ils se souviendront ! « On n’a pas fait dans la nostalgie ou dans l’histoire, on est rentrés dans le modernisme et le résultat, c’est une élégance intemporelle. Le cocktail moderne-classique est très réussi, avec une attention portée aux détails absolument exceptionnels. Jusqu’à la fin de leurs jours, tous ceux qui ont bossé sur ce projet se souviendront de ce chantier, c’est une certitude ! ».

En tous cas, le résultat est là, et le Grand Hôtel Dieu est bel et bien ce lieu de tous les plaisirs à la française… Et à la Fermob !

Figures berlinoises déjà à l’initiative de plusieurs restaurants et clubs dans la ville, Frank Spindler et la designeuse Karolina Preis, imaginent ensemble en 2014, une brasserie à l’accent français, qui se démarque par sa vision unique du « bien et bon » !

Si vous ne voyez pas comment transformer un très vieux bâtiment industriel en un chef d’œuvre de la haute gastronomie et du design, Frank et Karolina, eux, le savent. Lorsque nous voyons simplement un immeuble ancien de 1901, les deux entrepreneurs, eux, imaginent des possibilités exceptionnelles.

Ils repensent l’endroit, le rénovent et réaniment les lieux pour en faire, « the place to eat » où l’on apprécie les mets de la bistronomie française à tous les repas.

Karolina Preis et Frank Spindler
crédits photo : Klaus Lange

Au Spindler, le beau est l’ami du bon

Du beau, pour la déco des lieux, du bon avec des produits frais, du fait main et des sauces mijotées pendant des heures… voilà comment ce savant mélange propulse la Brasserie Spindler au top des meilleurs restaurants de Kreuzberg à Berlin.

On mange d’abord avec les yeux. Et pour cela, l’esthétique du cadre dans lequel on prend le temps de prendre son temps, compte autant que l’assiette. Pour Frank et Karolina, ce qui importe, c’est l’amour des belles choses, l’amour du détail et « celui que l’on ressent en passant la porte du restaurant ».

Côté ambiance ? Les deux esthètes ont une idée bien précise de l’empreinte qu’ils veulent donner au lieu. Des murs de briques blanchies à la chaux, des lambris fabriqués sur-mesure, un bar en noyer massif issu d’un vieux stock de bois, des tables travaillées à la main et des matériaux ennoblis grâce à la patine du temps… Au Spindler, c’est l’authenticité revisitée façon art déco qui plante le décor.

Une atmosphère chaleureuse, tamisée par des lumières douces et objets venus des quatre coins du monde : Des lampes anciennes chinées à Los Angeles, jusqu’aux carreaux marocains dans les salles d’eau, chaque détail compte et contribue à faire du Spindler un endroit où l’on se sent bien.

crédits photos : Karolina Preis

Et en terrasse aussi.

En été, la terrasse affiche complet à tous les repas ! Au milieu du patio, les Collections Fermob 1900 et Bistro paradent en couleur coquelicot, pour mettre de la joie de vivre aux côté des belles plantes. On peut s’y installer confortablement et admirer le paysage au bord de l’eau en dégustant son repas. Ce qui plaît à la designeuse et au responsable des lieux ? La qualité du mobilier Fermob et leur élégance. Pour Frank et Karolina, « Fermob, ce sont les meubles d’extérieur par excellence ».

Du beau, du bon et surtout, un restau qui fait du bien aux voisins, aux amis, aux voyageurs d’affaire ou aux touristes : avec un esprit #Fermobpeople dans l’âme, le Spindler accueille toutes les personnalités, même si pour avoir une place en terrasse, il faut réserver des semaines à l’avance !

crédits photos : Klaus Lange

Chez Fermob, en tous cas, nous remercions toute son équipe, pour le big élan de joie de vivre que le Spindler propage à Berlin au quotidien !

A bientôt sur ses terrasses !

Lourmarin, vendredi 1^er juin 2018, il est 15h, et nous voilà descendus du train. Il fait très chaud, il fait très beau et on se prépare pour une soirée hypra festive au milieu des décibels, des rock stars et des électro-chics sur les devants de la scène du Festival Yeah!. Du talent, du bon son : entre balances et accords majeurs, rencontre avec THE people et non moins #FERMOBPEOPLE initiateur de ce rendez-vous : Laurent Garnier….

Heavy, wavy, groovy

Producteur et DJ, Laurent Garnier, crée, avec ses acolytes, Arthur Durignon et Nicolas Galina, le Festival Yeah! de Lourmarin. Bien connu maintenant depuis 6 ans, on dit que ce festival a été inventé pour faire taire plusieurs heures la cigale. (Propos rapporté par Thomas. V, un Directeur Artistique fan des cigales). Alors pour ça, Lourmarin envoie du lourd en acoustique et draine plus de 900 personnes sur ces 3 jours de good vibes.

Laurent Garnier, DJ et fondateur du festival Yeah!

Rock attitude et élégance dans l’air

En arrivant, on se retrouve projetés dans un décalage plutôt surprenant, puisque tout se passe dans un château. Qui a dit que rock et bonnes manières ne faisaient pas la paire ? Au programme pour ce premier jour, ou plutôt en programmation : The Limiñanas, Moon Gogo, West Coast Crew, et encore une foule d’artistes singuliers et bourrés de talents, donnent le la.

Des oliviers à l’entrée, de la bienveillance dans tous les coins et le mobilier Fermob qui prend ses aises dans toutes les buvettes du festival : le décor est planté. Ou presque… Les lieux s’animent d’un esprit bon-enfant entre familles, bandes de potes et photo calls improvisés avec Mario, Luigi, et même des hommes-fées ! Les morceaux s’apprécient dans des mouvements de foule en totale désynchro. Du rock’n’roll en élégance, et pas en décadence, Laurent Garnier et ses 2 compères aiment sortir de leurs zones de confort, mais toujours en donnant du bonheur aux gens.

Festival yeah! it rocks ! 

Quand on dit festival, on est loin d’imaginer ce qui nous attend ici… Pour Laurent Garnier, l’ambition du Yeah! c’est d’abord de créer « un évènement familial et un endroit sympa où l’on boit des bonnes choses, où l’on mange des bonnes choses avec des chefs très sympathiques, des choses très différentes, et où l’on écoute plein de bonne musique ». C’est aussi le plaisir de rassembler, de faire participer toutes les bonnes volontés, de travailler avec les gens du Lubéron et des environs. « C’est un festival fait par les gens d’ici, pour les gens d’ici, on les inclue dans le truc ».

Impliquer tout le monde, s’ouvrir aux gens… des notions qui collent en tous cas à la perfection avec notre vision de l’outdoor, et qui vous disent pourquoi nous, chez Fermob, on a eu envie de faire partie de l’aventure et des décors du Yeah!. Si vous demandez à Laurent, ce que représente le Festival, il vous répondra que « c’est du partage ». Pour lui, ce rendez-vous repose aussi sur le travail de tous les bénévoles, et puis du staff qui a le smile en permanence. Sans eux, pas de bras, pas de résultat. Le but « est vraiment d’unifier tout le monde ». Rassembler, créer du lien, forcément, nous, ça nous parle… voilà pourquoi poser notre mobilier au Festival Yeah! était une évidence.

Laurent Garnier, né pour rendre les gens heureux ?

Pour Laurent Garnier, ce qui est important dans cet évènement ? « Proposer quelque chose de différent, surtout par rapport au château, parce que quand tu viens ici, tu ne dirais jamais qu’on vient faire un festival ». Et puis en toile de fond, il y a surtout l’envie de distribuer le bonheur et de faire du bien aux gens…. Le pari est plutôt réussi !

3h du mat’… On n’a pas vu le temps passer. On plie bagage. Et même si les cigales lui en auront un peu voulu d’avoir volé la vedette à Lourmarin, nous on lui dit un grand Merci pour son accueil, pour sa générosité et pour tout ce plaisir en live !

Voici une petite playlist Festival Yeah! concoctée par nos soins, let’s rock !